extrêmes de 2020 et 2021 ont forcé les entreprises à réévaluer.
Bien sûr, rien de tout cela n'aurait été possible avant l'ère numérique. Grâce à l'Internet haut débit,
à la technologie vidéo et aux smartphones dans toutes les poches, de nombreuses personnes ont
pu continuer à travailler de chez elles pendant la pandémie.
Alimentée par la nécessité de passer au numérique, la part des produits numériques s'est
accélérée de sept ans au cours des premières étapes de la pandémie, selon une enquête mondiale
2020 de McKinsey.
Sans surprise, cela a eu un effet d'entraînement sur le processus d'audit. Les auditeurs ne pouvant
se déplacer, les prêteurs ont été contraints de s'en remettre uniquement aux concessionnaires, ce
qui a accéléré le processus de numérisation.
Et il y a le transport aérien. Selon une étude menée en 2019 par le Conseil international pour le
transport propre, les émissions des compagnies aériennes ont augmenté jusqu'à 70 % plus vite
que prévu d'après l'ONU, avec une croissance de 32 % entre 2013 et 2018. Ce n'est pas seulement
le nombre de vols que les gens prennent, c'est aussi la classe qu'ils choisissent : les sièges des
classes affaires et première occupent plus d'espace et de poids que ceux de la classe économique,
ce qui produit jusqu'à cinq fois plus d'émissions.
Quel que soit le mode de transport utilisé par les auditeurs, l'environnement en pâtit. Pour réduire
cela, l'audit numérique doit entrer en jeu.
es données relatives aux transports britanniques pour 2020 ont montré que le Covid-19
avait eu un effet important sur les gaz à effet de serre, les émissions de CO2 ayant
diminué de 10,7 %. Bien que les voyages d'affaires vont probablement rebondir, les
